WASHINGTON, 7 septembre 2017 – Tandis que l’ouragan Irma ravageait les Caraïbes orientales et poursuivait sa trajectoire dévastatrice dans la mer des Antilles, le président du Groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, a fait la déclaration suivante :
« Nous exprimons notre compassion et notre solidarité envers les habitants des Caraïbes orientales et tous ceux qui sont encore touchés par l’ouragan Irma. Nous avons contacté le gouvernement d’Antigua-et-Barbuda et nous lui avons offert un appui immédiat pour l’aider à évaluer les dommages et les pertes, faire face à la catastrophe et entreprendre les travaux de reconstruction. Sur le terrain, le personnel du Groupe de la Banque mondiale présent en Haïti et en République dominicaine collabore déjà étroitement avec les organismes nationaux et les partenaires de développement pour accroître les capacités opérationnelles et intervenir dans les meilleurs délais.
Il est encore trop tôt pour mesurer le plein impact de la tempête, car celle-ci continue de faire rage. Quoi qu’il en soit, de telles catastrophes nous rappellent qu’il est nécessaire d’aider les pays à renforcer leur résilience contre des chocs qui se produisent de plus en plus fréquemment. »
Depuis 1980, huit pays des Caraïbes ont été victimes de catastrophes naturelles dont l’impact économique a dépassé 50 % de leur PIB annuel : Antigua-et-Barbuda, la Dominique, la Grenade, le Guyana, Haïti, la Jamaïque, Sainte-Lucie et Saint-Kitts-et-Nevis.
À l’heure actuelle, la Banque mondiale aide les pays des Caraïbes à gérer les risques de catastrophe et à s’adapter au changement climatique grâce à un portefeuille d’investissements en cours d’un montant de 383 millions de dollars.
Pour en savoir plus sur l'action du Groupe de la Banque mondiale en Haïti: banquemondiale.org/haiti
Suivez-nous sur :
Facebook : /banquemondiale
Twitter: @banquemondiale
YouTube : vidéos en français
