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L’État de l’Afrique : la COVID-19 et l’avenir du travail dans la région

13 avril 2021

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MULTIMÉDIA

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  • En Afrique comme dans le reste du monde, la pandémie de COVID-19 a révélé l'importance des technologies numériques et la dernière édition du rapport d'Africa's Pulse sur les tendances économiques en Afrique, montre l’importance de miser sur celles-ci pour accélérer la reprise de l’activité sur le continent. 

    Le développement du numérique améliore non seulement la productivité des emplois existants mais il permet d’en créer de nouveaux, qualifiés et non-qualifiés. De nombreux pays d'Afrique subsaharienne l’ont bien compris et réalisent des investissements massifs dans l’infrastructure digitale et le renforcement des compétences informatiques.

    Alors que la plupart des pays africains ont plutôt bien résisté à la crise économique déclenchée par le coronavirus, quelles réformes, politiques publiques et investissements devraient-il prioriser pour consolider la reprise économique ? À quoi ressemblera le monde du travail de demain ? Comment inclure la jeunesse africaine, véritable moteur d’innovation et incubateur de talents ?

    Un panel de ministres, entrepreneurs et leaders du paysage numérique africain tenteront de répondre à ces questions lors de notre évènement en direct animé par la journaliste Georja Calvin-Smith.

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    Georja Calvin-Smith

    journaliste senior à France 24, présentatrice de l’événement

    Basée à Paris, Georja Calvin-Smith est journaliste, présentatrice et rédactrice en chef de l’émission Eye on Africa depuis 2013 sur France 24 où elle présente également l’émission hebdomadaire Across Africa. Reporter depuis 15 ans, elle a suivi l’actualité locale et internationale, couvrant des sujets variés tels que les manifestations anti-austérité en Grèce, les commémorations du génocide rwandais ou la chute de Kadhafi en Libye. Elle a déjà eu l’occasion d’interviewer plusieurs chefs d’État et a régulièrement collaboré avec l’ONU, notamment comme modératrice de la conférence de la COP21 sur les changements climatiques ainsi que lors de la Journée mondiale de la liberté de la presse en 2017. Georja a aussi modéré plusieurs débats organisés par la Banque africaine de développement ou encore pour la conférence organisée par le journal Le Monde sur « Les femmes, l’avenir du continent ». Elle a également été membre du Forum Afrique de l’OCDE à Paris. Après avoir suivi des études de droit au Royaume-Uni, elle a débuté sa carrière en tant que reporter et présentatrice télé à Manchester où elle a écrit des articles et produit des documentaires pour la BBC, ITV et HBO. Georja est aussi maître de capoeira, une danse de combat brésilienne.

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    Moussa Faki Mahamat

    Président de la Commission de l'Union africaine (CUA)

    S.E. Moussa Faki Mahamat, né le 21 juin 1960, le Ministre tchadien des affaires étrangères a été élu nouveau Président de la Commission de l'Union africaine. S.E. Mahamat parle couramment le français, l'arabe et l'anglais et a occupé des postes très élevés avec une expérience de trente ans. Cet avocat a été ministre à plusieurs reprises ; il a été directeur du Cabinet civil du Président de la République, Premier ministre, Chef du gouvernement, Président d'une grande institution de la République, à savoir le Conseil économique, social et culturel, où il a eu à traiter et gérer des dossiers importants. S.E. Moussa Faki Mahamat a présidé le Conseil de sécurité pour le mois de décembre 2015 et le débat général du 19 décembre 2015 sur le thème " menaces contre la paix et la sécurité internationales ; terrorisme et criminalité transfrontaliers ". Il a également présidé le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine en septembre 2013 et dirigé le Sommet extraordinaire de Nairobi sur la lutte contre le terrorisme. Les questions de paix et de sécurité en Afrique ont été au cœur des activités de M. Mahamat et de nombreuses autres missions axées sur le bien-être de l'Afrique. Le président de la Commission est le premier dirigeant, le représentant légal de l'UA et le comptable en chef du président. Il est directement responsable devant le Conseil exécutif de l'exercice de ses fonctions.

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    Vera Esperança dos Santos Daves De Sousa

    Ministre des Finances, Angola

    Vera Daves de Sousa est actuellement ministre des Finances de la République d’Angola, après avoir exercé les fonctions de secrétaire d’État aux Finances et au Trésor, de présidente de la Commission des marchés de capitaux et de directrice du bureau des produits et de la recherche au Banco Privado Atlântico. Elle avait auparavant enseigné les marchés financiers dans le cadre du programme de MBA exécutif (EMBA) de la Católica Business School Alliance et a cosigné un ouvrage sur les finances publiques.

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    Emma Theofelus

    ministre adjointe des technologies de l’information et de la communication (TIC), Namibie

    Actuellement membre du Parlement et vice-ministre au ministère des technologies de l'information et de la communication de la République de Namibie, Emma Inamutila Theofelus est une jeune Namibienne de 24 ans née dans la capitale, Windhoek. Avant sa nomination, Emma a toujours été activement impliquée dans la vie politique et a porté la voix de la jeunesse en tant que militante pour l’égalité hommes-femmes, les droits de l'enfant, le développement durable et le chômage des jeunes. Elle a notamment été vice-présidente du Parlement des jeunes de la République de Namibie et maire junior de la ville de Windhoek. Emma est titulaire d'un diplôme de droit de l'université de Namibie, d'un diplôme en gestion d'entreprise de l'université Amity et d'un diplôme en féminisme afrikan et en études sur le genre de l'université d'Afrique du Sud. Dans ses nouvelles fonctions, Emma prévoit d’améliorer la communication autour des activités et des programmes du gouvernement namibien dans le domaine des TIC et préparer le pays à la quatrième révolution industrielle.

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    Ibrahima Guimba-Saïdou

    Director General of the National Agency for the information society (Ansi)

    Ibrahima Guimba-Saïdou (@guimbasaidou) is the current Director General of the National Agency for the information society (Ansi). He is also former Minister - Special Advisor of the President of the Republic and a board member of Niger Telecom, the National Operator of Niger. Mr Guimba-Saïdou has over 20 years of professional experience in the telecommunications industries worldwide. His expertise is in strategy, operations planning and management, market sizing, product marketing, business planning, Sales and Market development.He joined the government of Niger in November 2016 as High Commissionner (cabinet level position) in charge of ICT. He is in charge of the e-government strategy and its implementation, as well as enabling the ICT ecosystem.

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    Moustapha Cissé

    chercheur scientifique et chef du centre de recherche en intelligence artificielle de Google, à Accra au Ghana. Fondateur et directeur du master en intelligence artificielle de l’Institut africain des sciences et des mathématiques

    À la tête du tout premier centre de recherche en intelligence artificielle en Afrique, installé par Google à Accra, Moustapha Cissé dirige la recherche fondamentale sur toutes les applications possible de l’intelligence artificielle et comment celle-ci peut résoudre des problèmes sociaux complexes et améliorer le quotidien. Titulaire d’un doctorat en physique et en mathématiques de l’université Pierre et Marie Curie à Paris, en France, Moustapha enseigne également au sein de l’Instit africain des sciences et des mathématiques où il a créé et dirige le master en intelligence artificielles. Il a également été chercheur au centre de recherche en intelligence artificielle lancé par Facebook en France.

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    Nwachinemere Emeka

    fondateur de Kitovu et lauréat du concours Ideas4Action 2017

    Passionné par l'innovation et la technologie Nwachinemere Emeka entend contribuer à améliorer les chaînes de valeur en Afrique et permettre ainsi aux entreprises du continent de devenir des actrices incontournables des échanges mondiaux.

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    Anika Jane Dorothy

    coordinatrice pour l’Afrique de l’Est, Amplify Girls et One Champion, Afrique de l’Est

    Anika Jane Dorothy est coordinatrice de la région Afrique de l’Est pour le collectif d’organisations communautaires AMPLIFY, après avoir occupé le poste d’administratrice de l’initiative Green Congress au Kenya. Elle a acquis une vaste expérience de la collaboration avec les organisations environnementales à base communautaire, essentiellement animées par les femmes et les filles. Militante de longue date en faveur des principes et des droits démocratiques, elle se passionne pour tout ce qui concerne les droits des femmes, les mouvements féministes, la démocratie et la gouvernance. Elle croit fermement à l’avenir des récents mouvements féministes et des organisations de jeunes. Elle est également spécialiste panafricaine en sciences sociales, et experte en matière de partenariats, de politiques et de plaidoyer, tant au niveau régional que global. Elle a notamment développé son expertise dans le cadre des groupes de travail Action Coalitions pour le forum Génération égalité, des Design sprints organisés par l’ONU Femmes, ou encore en collaborant à la Plate-forme des droits des filles avec Plan international. Son travail en faveur des droits des femmes et des filles au niveau régional et international l’a amené à rejoindre le groupe de travail des jeunes pour la revue Beijing +25 de l’ONU Femmes en vue d’atteindre l’égalité entre les sexes dans le cadre de la mise en œuvre de la Plateforme d’action de Beijing. Anika Jane Dorothy participe aussi au comité technique du Réseau des femmes africaines dirigeantes (AWLN) au Kenya. En tant que membre du groupe de champions de l’organisation One, elle mène enfin des actions de plaidoyer auprès des décideurs d’Afrique de l’Est afin d’accélérer les changements nécessaires à l’égalité entre les sexes. Elle est titulaire d’un master en Études féministes, Leadership et Gouvernance de l’université de Nairobi.

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    Hafez Ghanem

    Vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Est et australe

    De nationalité franco-égyptienne, Hafez Ghanem est vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Est et australe depuis le 1er juillet 2020. Expert du développement ayant à son actif plus de trente années d’expérience, il coordonne les relations de la Banque mondiale auprès de 26 pays et gère un portefeuille régional de plus de 280 projets, pour un engagement total supérieur à 49 milliards de dollars. Il était auparavant le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique. Sous sa houlette, la Banque mondiale s’est attachée à favoriser une croissance inclusive et la réduction de la pauvreté en finançant des projets en faveur du développement du capital humain, de l’essor du secteur privé, de l’accroissement de la productivité agricole, de l’amélioration de l’accès aux infrastructures, du renforcement de la résilience au changement climatique et de la promotion de l’intégration régionale. L’intensification de l’aide en faveur des États fragiles et en conflit, la promotion de l’égalité des sexes et le développement d’opportunités économiques pour les jeunes ont été au cœur de la vision de M. Ghanem pour la Région Afrique. Depuis 2015 et jusqu’à la prise de ses nouvelles fonctions, M. Ghanem était vice-président de la Banque mondiale pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord et supervisait à ce titre les activités de l’institution dans 20 pays. Avant d’être nommé à ce poste, il était attaché supérieur de recherche à la Brookings Institution au sein du programme Économie et développement mondial, où il dirigeait un projet sur les économies arabes consacré à l’impact de la transition politique sur le développement économique. Entre 2007 et 2012, M. Ghanem a été sous-directeur général au sein de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Responsable du Département du développement économique et social, il était en charge des travaux d’analyse de la FAO dans les domaines de l’économie agricole et de la sécurité alimentaire, du commerce et des marchés, de l’égalité hommes-femmes et des statistiques. À ce titre, il a coordonné avec son homologue de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) la préparation des recommandations communes sur la crise alimentaire mondiale présentées par les organisations internationales à la réunion du G20 de 2011. Il a également conduit les réformes relatives au Comité sur la sécurité alimentaire mondiale et visant à rendre celui-ci plus inclusif et réactif aux besoins des pays. M. Ghanem a débuté sa carrière à la Banque mondiale en 1983, comme jeune cadre. De 1983 à 2007, il a travaillé sur des opérations et des initiatives dans une vingtaine de pays d’Afrique, d’Europe et d’Asie centrale, du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, et d’Asie du Sud-Est. Ses fonctions ont notamment été les suivantes : directeur des opérations pour le Nigéria, avec une équipe internationale de plus de 100 personnes et un portefeuille de prêts d’environ 1,5 milliard de dollars ; directeur des opérations pour Madagascar, les Comores, Maurice et les Seychelles ; et chef de secteur pour l’économie du secteur public et la politique commerciale dans la Région Europe et Asie centrale. M. Ghanem a signé de nombreuses publications dans des revues spécialisées et a figuré au sein de l’équipe de base du Rapport sur le développement dans le monde 1995. Il est titulaire d’une licence et d’une maîtrise en économie de l’Université américaine du Caire et d’un doctorat en économie de l'université de Californie à Davis et parle couramment l’arabe, l’anglais et le français.

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    Ousmane Diagana

    Vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale

    De nationalité mauritanienne, Ousmane Diagana est vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale depuis le 1e juillet 2020. Dans ce rôle, il coordonne les relations de la Banque mondiale auprès de 22 pays et gère un portefeuille de projets, d’assistance technique et de ressources financières de plus de 38 milliards de dollars. Avant d’être nommé à ce poste, M. Diagana était le vice-président des ressources humaines du Groupe de la Banque mondiale. À ce titre, il a mené la stratégie globale de la Banque en matière de ressources humaines et supervisé l’élaboration et la mise en œuvre de la stratégie de gestion du personnel du Groupe de la Banque mondiale, ainsi que des politiques, programmes et services en matière de ressources humaines. D’octobre 2015 à janvier 2018, M. Diagana était le vice-président en charge du département d’Éthique et de Déontologie du Groupe de la Banque mondiale. Mentor et modèle professionnel, M. Diagana est reconnu pour son leadership organisationnel. Il a apporté à cette fonction une profonde connaissance des opérations de la Banque mondiale, une réflexion novatrice et stratégique, des compétences de gestion reconnues et une perspective unique sur les bureaux de pays. Auparavant, il était directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Benin, la Guinée et le Togo, basé à Abidjan. Avant cela, il était basé à Bamako en tant que directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Mali, le Niger, le Tchad et la Guinée. Entre 2006 et 2009, il était Chargé de programme senior au Maroc. En cette qualité, il a assuré efficacement la supervision d’équipes diverses et multidisciplinaires pour la mise en œuvre de stratégies et d’opérations novatrices, y compris dans des États fragiles ou en conflit. En 2009, M. Diagana a reçu le Prix du bon manager de la part de l’Association du personnel du groupe de la Banque mondiale en reconnaissance de son leadership. Ousmane Diagana a rejoint la Banque en 1992. Titulaire d’un diplôme en économie, finance et planification, ainsi que d’un diplôme en politique d’éducation et analyse, il parle six langues (français, anglais, arabe, soninké, fulani et wolof).

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    Sérgio Pimenta

    Vice-président régional pour le Moyen-Orient et l’Afrique à IFC

    Sérgio Pimenta est vice-président de l'IFC pour le Moyen-Orient et l'Afrique. A ce titre, il est en charge de l'ensemble des opérations de conseil et d'investissement d'une région comptant plus de 600 collaborateurs et dont le portefeuille s'élève à 20 milliards de dollars, mobilisation comprise. Auparavant, M. Pimenta était directeur et chef mondial de l'industrie-fabrication, de l'agro-industrie et des services à l'IFC, où il gérait toutes les opérations dans ces secteurs dans le monde entier. Il a dirigé une équipe de 350 personnes travaillant dans plus de 100 pays afin d'élargir le rôle du secteur privé pour relever les défis urgents du développement dans des domaines tels que l'agro-industrie, la santé, l'éducation, la fabrication et les services commerciaux. M. Pimenta a également occupé pendant trois ans le poste de directeur régional de l'IFC pour l'Asie de l'Est et du Pacifique, basé à Hong Kong. Plus tôt dans sa carrière à l'IFC, il a occupé des postes de cadre supérieur dans les secteurs de la fabrication, de l'agroalimentaire et des services dans la région Asie-Pacifique, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, et à Washington. Avant de rejoindre le Groupe de la Banque mondiale en 1996, dans le cadre du Programme pour les jeunes professionnels, M. Pimenta a travaillé pour la Direction du Trésor du ministère français des Finances, ainsi que pour la Banque nationale de Paris (BNP). De nationalité portugaise et française, il est titulaire d'un diplôme d'ingénieur de l'École polytechnique de Paris et d'un diplôme de troisième cycle de l'École nationale des ponts et chaussées de Paris.

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    Albert Zeufack

    économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique

    Albert G. Zeufack, est depuis mai 2016, l’économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Afrique. Avant d’être nommé à ce poste, il était directeur au pôle mondial d’expertise en macroéconomie et finances publiques et chef de file d’une communauté d’experts de la Banque mondiale sur les économies de rente. Son domaine principal de recherches porte sur les fondements microéconomiques de la macroéconomie. Albert Zeufack est rentré à la Banque mondiale dans le cadre du programme de recrutement de « jeunes professionnels » en 1997 et a commencé sa carrière comme chercheur au sein de la Division macroéconomie et croissance du Département de la recherche. Il a ensuite occupé différents postes au sein des Régions Afrique, Asie de l’Est et le Pacifique, et Europe et Asie Centrale. Entre 2008 et 2012, il s’est mis en disponibilité, pour travailler dans le fonds souverain malaisien, Khazanah Nasional Berhad, en tant qu’économiste en chef et directeur de la recherche et de la stratégie. De nationalité camerounaise, Albert Zeufack est titulaire d’un doctorat en sciences économiques du CERDI-Université de Clermont-Ferrand (France) où il a enseigné avant de rejoindre la Banque mondiale. Il est également titulaire d’un DEA en analyse et politiques économiques de l’Université de Yaoundé (Cameroun) et a suivi des enseignements professionnels à Harvard et Stanford. Albert Zeufack est membre du réseau de l’ONU pour le développement durable, membre du Comité technique consultatif pour la Charte des ressources naturelles (Oxford), membre du Conseil consultatif de l’Institut pour la gouvernance des ressources naturelles (NRGI) et membre du Conseil d’administration du Consortium pour la recherche économique en Afrique (AERC).