La poursuite des études chez les filles a de nombreuses retombées positives : cela recule l’âge du mariage et de la première maternité, fait baisser les taux de mortalité maternelle et infantile, les taux de natalité ainsi que les taux de prévalence du VIH/sida. Une augmentation de seulement 1 % de la proportion de femmes ayant achevé leurs études secondaires peut accroître la croissance du revenu par habitant de 0,3 %.En avril 2016, Jim Yong Kim annonçait que le Groupe de la Banque mondiale allait investir 2,5 milliards de dollars sur cinq ans dans des projets d’éducation qui bénéficieraient directement aux adolescentes (plus précisément aux filles âgées de 12 à 17 ans). Depuis cette annonce, la Banque a déjà engagé 530 millions de dollars en faveur de trois pays où les besoins sont particulièrement importants : le Liban, le Pakistan et le Nigéria.
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