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Évènements

Le développement du capital humain à Djibouti : façonner l’avenir des jeunes

2 - 3 décembre 2020

Virtuel

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Djibouti a placé le capital humain au centre de ses politiques de développement pour assurer la croissance économique, parvenir à une réduction durable de la pauvreté et améliorer la vie de tous ses citoyens.

La crise de la COVID-19 a perturbé davantage l’accès à l’éducation et l'apprentissage et risque d'exacerber les défis existants. Les nouvelles technologies transforment rapidement la nature du travail : dans le monde entier, les pays doivent s’adapter à l’économie numérique et faire en sorte que les nouvelles générations puissent se saisir des opportunités qui en découleront. Pour être à la hauteur du défi, Djibouti doit préparer sa population au monde de demain et libérer le potentiel que recèle la jeunesse pour en faire un moteur de croissance.

Tel est l’enjeu au cœur du forum virtuel de deux jours consacrés aux principaux problèmes et défis du capital humain et à l’identification d’une stratégie intégrée pour aider Djibouti à investir dans sa population. 

La discussion s’articulera autour du Projet pour le capital humain de la Banque mondiale et des meilleures pratiques internationales en matière de développement humain. 

  • Forum Virtuel

    Le développement du Capital Humain à Djibouti

    Investir dans une population en bonne santé, éduquée, qualifiée et résiliente pour construire un avenir meilleur

     

    Mercredi 2 décembre (Heure : GMT+3)

     

    Sessions

    Intervenants

    14h00-14h10

    Discours d’ouverture

    Marina Wes, Directrice régionale pour Djibouti, Egypte et Yémen, Banque mondiale

    14h10-14h20

    Allocution liminaire

    Mouna Osman Aden

    Ministre des affaires sociales et des solidarités

    14h20-14h30

    Allocution liminaire

    Moustapha Mohamed Mahamoud

    Ministre de l’Education et de la Formation Professionnelle

    14h30-14h40

    Allocution liminaire

    Mohamed Warsama Dirieh

    Ministre de la Santé

    14h40-14h50

    Allocution liminaire

    Ilyas Moussa Dawaleh

    Ministre de l’économie et des finances, chargé de l’industrie, Djibouti

    15h00-15h20

    Présentation - Projet pour le capital humain de la Banque mondiale

    Hana Brixi

    Responsable du Projet pour le Capital humain, Banque mondiale

    15h25-15h45

    Présentation – Meilleures pratiques internationales en matière de développement humain

    Igor Kheyfets

    Économiste senior en éducation, Moyen-Orient et Afrique du Nord, Banque mondiale

    15h45-16h30

    Présentation - Expérience du Royaume du Maroc

    M. Mohamed Dardouri, Wali, chargé de la coordination nationale de l'Initiative Nationale du Développement Humain (INDH)

    16h30-17h30

    Discussion

    Participants

    Jeudi 3 décembre (Heure : GMT+3)

    Heure

    Sessions

    Intervenants

    8h30- 15h00

    SESSION CLOSE – travaux des différents groupes thématiques

    Session restreinte aux représentants du Gouvernement de Djibouti

    15h00-15h45

    Développement du capital humain : Présentation du plan d’action

    Rapporteurs des groupes thématiques

    15h45-16h15

    Discussion

    Participants au forum

    16h15-16h25

    Mots de conclusion

    Keiko Miwa, Directrice régionale pour le développement humain, Banque mondiale

    16h25-16h30

    Mots de conclusion

    Gouvernement de Djibouti

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    Marina WesDirectrice des opérations pour l’Égypte, le Yémen et Djibouti, Banque mondiale.   Avant d’occuper ces fonctions, Mme Wes était directrice des opérations pour la Cisjordanie et Gaza. Elle a aussi travaillé à la Banque mondiale en tant que responsable pays pour la Pologne et économiste principale pour la Turquie. Economiste de formation, Mme Wes a rejoint la Banque mondiale en 2000 et a travaillé sur un large éventail de questions dans d'importants marchés émergents, notamment l'Inde, le Pakistan, la Pologne et la Turquie.

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    Mouna Osman Aden

    Ministre des affaires sociales et des solidarités, Djibouti. Mme Mouna Osman Aden a été nommée ministre des affaires sociales et des solidarités en 2016. À ce titre, elle a mené des initiatives visant à améliorer la prestation des services publics et à combler le fossé entre l'État et les citoyens et a dirigé la nouvelle stratégie nationale de protection sociale, en faisant un droit fondamental. En 2017, son ministère a établi le premier registre social du pays. Avant cette nomination, le ministre Mouna a fait carrière dans le domaine de la santé publique.

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    Moustapha Mohamed Mahamoud

    Ministre de l’éducation et de la formation professionnelle, Djibouti. M. Moustapha Mohamed Mahamoud se consacre à l’amélioration de la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage à tous les niveaux, le renforcement de l’accès et de l’équité, la gestion axée sur le résultat et les performances.

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    Mohamed Warsama Dirieh

    Ministre de la santé, Djibouti. Mohamed Warsama Dirieh a fait carrière comme haut fonctionnaire au sein du Ministère de  l’éducation et de la formation professionnelle (MENFOP).

    Il débuta sa carrière professionnelle en 1996 au sein du ministère de l’Education nationale. De 2003 à 2007, il était professeur au Lycée industriel et commercial. En 2013, il accède au poste de directeur financier du MENFOP.

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    Ilyas Moussa Dawaleh

    Ministre de l’économie et des finances, chargé de l’industrie, Djibouti. Avant de rejoindre le gouvernement de Djibouti en 2011, M. Dawaleh a été PDG d'un groupe d'entreprises familial, à Djibouti et à l'étranger. Il a dirigé la campagne du président Ismail Omar Guelleh en 2011 et a été élu député en 2013. Auparavant, M. Dawaleh a occupé différents rôles dans l'administration et le port de Djibouti où il a été chef du bureau de gestion des projets et chef des opérations. En dehors de ses engagements professionnels, M. Dawaleh a consacré du temps à des activités humanitaires et civiques dans plusieurs organismes sans but lucratif.

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    Hana Brixi

    Responsable du Projet pour le capital humain, Banque mondiale.   Au cours de sa carrière, elle s'est consacrée à l’amélioration du développement humain, de la gouvernance et de la gestion des finances publiques et des politiques budgétaires. Elle a notamment été responsable des activités de la Banque mondiale dans le secteur de l’emploi et de la protection sociale pour la région MENA et a aussi exercé les fonctions de responsable pour la fourniture des services publics et d’économiste principale.

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    Igor Kheyfets

    Économiste senior en éducation pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Banque mondiale.  Il a travaillé sur les questions du financement de l’éducation, de l’efficacité de l’utilisation des ressources, de l’utilisation des données et de l’analyse pour l’élaboration des politiques et des liens entre les compétences des diplômés et le marché du travail.

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    M. Mohamed Dardouri, Wali,  chargé de la Coordination Nationale de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), Maroc. M. Dardouri a entamé sa carrière au ministère de l’Equipement. En juin 2005, il est nommé wali de la Région de Tadla-Azilal, gouverneur de la province de Béni Mellal, puis wali de la Région de Fès-Boulmane, gouverneur de la préfecture de Fès en mai 2012, puis wali de la Région de Béni Mellal-Khénifra, gouverneur de la province de Béni Mellal en octobre 2015.

     

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    Keiko Miwa, Directrice régionale du développement humain, région MENA, Banque mondiale. Auparavant, elle était directrice du pôle d’expertise mondial pour l'éducation à la Banque mondiale. Keiko a travaillé sur divers projets éducatifs et des travaux analytiques en Afrique, Asie de l'Est et Pacifique, Europe et Asie centrale et Asie du Sud. Elle a été responsable de l'éducation dans la région de l'Asie du Sud et responsable pays au Laos. Keiko a passé la moitié de sa carrière à travailler dans des bureaux pays, notamment en Afghanistan, au Bangladesh et au Laos.

  • Séminaire virtuel : L’apprentissage pour réaliser les promesses de l’éducation

    Promouvoir un meilleur apprentissage pour permettre aux jeunes de réaliser leur plein potentiel

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    16 novembre 2020

    ​À Djibouti, l’accès à l’éducation à tous les niveaux reste un défi majeur: au moins un élève d’âge scolaire sur cinq n’a jamais été à l’école. Avec 9,6 années d’instruction avant l'âge adulte, les niveaux de scolarité restent faibles, tout comme les niveaux d'apprentissage.  La crise de la COVID-19 a perturbé davantage l'apprentissage et risque d'exacerber les défis existants. Des efforts sont en cours pour renforcer l'évaluation par rapport aux normes d'apprentissage et la modernisation du curriculum ainsi que pour adopter de nouvelles pédagogies plus interactives comme l’expansion de l'apprentissage numérique, adapté au contexte de connectivité Internet limitée. Les discussions se sont axées sur la crise d’apprentissage dans la région d’Afrique Sub-saharienne et du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord  et les actions pour traduire les investissements en un meilleur apprentissage et des compétences renforcées.

    Séminaire virtuel : Investir dans les 1 000 premiers jours

    Comment s’assurer que les enfants réalisent tout leur potentiel ?

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    17 novembre 2020

    ​Ce qui se passe au cours des 1 000 premiers jours détermine dans une large mesure le cours de la vie d'un enfant - sa capacité à grandir, à apprendre et à devenir un adulte en bonne santé et productif. Chaque année et chaque phase concluent un moment marquant du développement du capital humain. Les résultats de ces phases sont pour la plupart irréversibles. Ces marqueurs permanents rendent les premières années si importantes. Les représentants du gouvernement de Djibouti et de la Banque mondiale ont échangé leurs points de vue sur l'importance et les avantages d'investir dans la petite enfance par le biais de soins de santé, de nutrition, d'affection et d'éducation, afin que les enfants puissent acquérir les compétences dont ils ont besoin pour le monde de demain.

    Séminaire virtuel : Renforcer la protection sociale pour protéger les générations futures

    Une approche adaptée à la transformation de la nature du travail

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    18 novembre 2020

    La transformation rapide de la nature du travail dans les pays à tous les niveaux de revenu pose un défi aux politiques et aux programmes mis en place par les gouvernements pour aider les populations à gérer les risques associés aux moyens d'existence. Afin de renforcer la protection sociale, il faut adopter une nouvelle approche, plus pertinente et plus efficace pour un bâtir un monde du travail diversifié et fluide. Les discussions se sont articulées autour du rapport de la Banque mondiale, intitulé en anglais “Protecting All: Risk-Sharing for a Diverse and Diversifying World of Work. Le rapport met en lumière la manière dont les facteurs mondiaux de perturbation, tels que les progrès rapides de la technologie et l'évolution des schémas commerciaux, se font sentir sur les marchés du travail des pays à revenu élevé, intermédiaire et faible. Il montre aussi que les changements sociaux, démographiques et climatiques modifient également les nature du travail.

DETAILS

  • Place: Virtuel
  • Date: 2 - 3 décembre 2020